Cinéma: à Deauville, une partie de la profession veut des films «plus spectaculaires» avec «plus d’argent»

Reportage

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Au Congrès annuel des exploitants, les punchlines provoc étaient de mise pour contrer les plateformes, quitte à négliger la pluralité de l’offre.

Le directeur des affaires publiques de TikTok France, Eric Garandeau, invité au pupitre de la discussion «Comment reconquérir le public ?», ouvre sa présentation PowerPoint sur les potentialités marketing de l’application mobile avec un «petit clin d’œil à Méliès et aux frères Lumière», osant cette comparaison dans un même souffle : «Tiktok n’est pas sans rappeler l’invention du cinématographe.» Le Congrès annuel des exploitants de cinéma bat son plein, mercredi, et on comprend vite que le ton sera sans filtre. Le distributeur Christophe Courtois, à la tête de SND (filiale de M6), a pris soin d’annoncer : «On n’est pas là pour les funérailles du cinéma ! C’est pas le téléthon du cinéma ici, ni les états généraux de la fin du monde.»

Ce n’est pas faux, ce n’est pas le téléthon ici, mais une réunion cruciale à l’heure où le secteur s’arrache les cheveux sur la désaffection des salles. Comme de coutume, toute la profession a enfilé sa veste sans manches de mi-saison pour affluer à Deauville, où il s’agit de faire le point sur les défis du moment, interroger ses pratiques, réaffirmer la valeur «primordiale, indispensable, exclusive, éco-responsable» des sall…

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