9 JOURNÉES DE LA VIE D’UN PEINTRE (6/9) – Aux côtés du Hollandais Jongkind, Boudin trouve sa vraie nature. Les élégantes de Trouville l’inspirent. Il a lancé une mode.
Cet article est issu du Figaro Hors-Série « Eugène Boudin, le père de l’impressionnisme ». Découvrez la vie, l’œuvre et l’art de celui que Corot surnommait « le roi des ciels », en un numéro de 160 pages, magnifiquement illustré .
À découvrir
Avec une régularité de métronome, Eugène Boudin, dès l’été, quitte Paris pour regagner sa Normandie. Sa collaboration avec Troyon ne peut pas s’éterniser. Il a une idée : organiser une vente aux enchères de quelques-unes de ses œuvres. Après avoir hésité, il choisit Caen. C’est une grande ville de province. Riche. En juin 1862, il y met en vente une dizaine de tableaux, des natures mortes, des scènes de marchés et de pardons, des paysages et des marines. Il est certain que ce genre de peintures va plaire. Fiasco complet ! Boudin s’effondre : « J’ai oublié de manger ce jour-là et l’eau de l’Orne me donnait des tentations. »
Boudin traîne son cafard de jour en jour. Mais tout n’est pas gris en Normandie. Alors qu’il erre à Trouville…
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