Deauville. Hippodromes, Pôle international du cheval, Arqana… Quelques chiffres sur ces institutions

Les deux hippodromes, le Pôle international du cheval et Arqana : voici quelques chiffres sur ces institutions du cheval à Deauville (Calvados).

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Une trentaine d’employés à l’hippodrome de Deauville – La Touques à l’année

Une trentaine de salariés travaillent pour l’hippodrome et le centre d’entraînement. Ils s’occupent de la piste, des espaces verts, de la maintenance générale. En août, pendant le meeting, le nombre de salariés grimpe à 70.

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L’hippodrome comptabilise 48 jours de courses par an. Pour rappel, l’hippodrome est également un centre d’entraînement. On y trouve entre 400 et 430 chevaux en permanence. « Et pendant le meeting nous avons environ 600 chevaux sur l’hippodrome », précise Guillaume Flavigny, le directeur.

Une dizaine de salariés à l’année à l’hippodrome Clairefontaine

À l’hippodrome de Deauville-Clairefontaine, à Tourgéville, une dizaine de salariés travaillent à l’année. « Nous avons deux personnes dans les bureaux ; deux sur le terrain, qui tondent les pistes jusqu’au 15 novembre et reprennent le 15 janvier ; deux chauffeurs, un contremaître chef d’équipe, une à deux personnes qui s’occupent des 100 000 fleurs et deux ouvriers polyvalents », indique Axelle Maître, secrétaire générale de l’hippodrome

Entre juin et octobre, les jours de course, entre les saisonniers, les prestataires, les CDD et CDI, 350 intervenants travaillent sur site.

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Une cinquantaine de salariés chez Arqana à l’année

La société de ventes de chevaux, Arqana, à Deauville, qui a commencé en 2006 avec une trentaine de salariés, est proche de la cinquantaine en 2024.

« Les jours de ventes, des vacataires travaillent en plus. Il y a ceux qui s’occupent des écuries, des rentrées et des sorties de chevaux, de la restauration… C’est difficilement chiffrable, ça dépend des ventes », souligne Eric Hoyeau, ancien directeur général d’Arqana.

Une douzaine de salariés au Pôle international du cheval Deauville

Douze personnes travaillent pour le Pôle international du cheval. « Mais ce sont une trentaine de personnes qui travaillent sur le site », nuance Franck Le Mestre, le directeur de la structure. Car il faut compter les écuries privées, l’académie Delaveau, la garde républicaine, le restaurant, etc. Et lors de grands événements il peut y avoir jusqu’à 60 salariés à travailler sur le site.

Le PIC comptabilise 90 jours de concours dans l’année dont cinq étapes du Normandie Summer tour, quatre concours internationaux de saut d’obstacles et un de dressage, un concours grand national et des nationaux pro élite de horse ball, poney et saut d’obstacles. Il y a aussi des stages de préparation pour l’équipe de France et des événements qui n’ont rien à voir avec le cheval.

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