Deauville : Robert Pirès, Laura Flessel ou encore Olivier Girault au festival de documentaire sportif

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Du beau monde sera présent, une nouvelle fois, à Deauville (Calvados). Ce ne sera, ici, pas dans l’univers du cinéma, mais bien du sport et des médias. Du mercredi 3 au vendredi 5 avril 2024 se déroulera le premier Deauville Sport Doc Festival, qui met à l’honneur le documentaire sportif. Pendant ces trois jours, 38 documentaires seront projetés : 13 longs-métrages, 7 courts-métrages, 5 docu-séries, 8 documentaires provenant du web et 5 films écoles. Ils concourront dans diverses catégories, avec des prix décernés par un jury présidé par Stéphane Meunier, réalisateur du célèbre documentaire Les Yeux dans les Bleus, qui a accompagné l’équipe de France durant leur sacre en 1998.

Hervé Mathoux et Laure Boulleau

Le festival ouvrira publiquement le mercredi matin par la projection de Quand gagner ne suffit plus, qui a suivi le navigateur François Gabart durant quatre ans. « On a choisi ce film pour débuter, car François Gabart témoigne de son engagement pour les océans, de son éco-responsabilité, indique Roland Giscard d’Estaing. On veut envoyer un message fort, montrer que le sport apporte à la société ».

Laure Boulleau, ancienne footballeuse et consultante.
Laure Boulleau, ancienne footballeuse et consultante. ©Canal Football Club

Une première matinée qui sera suivie d’une masterclass présentée par Hervé Mathoux et Laure Boulleau, journaliste et consultante de l’émission Canal Football Club. Ils viendront parler du nouveau programme de Canal +, Au micro, qui consiste à trouver des talents du commentaire sportif.

De grands champions et championnes

Hervé Mathoux et Laure Boulleau ne seront pas les deux seuls journalistes/consultants populaires à venir au festival. Jean-Paul Loth, Grégoire Margotton ou encore Philippe Doucet viendront discuter autour de tables rondes ou masterclass sur des sujets liés au sport et au documentaire.

Olivier Girault, ancien handballeur.
Olivier Girault, ancien handballeur. ©D.P

Des journalistes et consultants des plus grandes chaînes, donc, mais aussi des sportifs de haut niveau. Laura Flessel tout d’abord, marraine de ce premier Deauville Sport Doc Festival. Mais également Robert Pirès, Thierry Rey, Olivier Girault, Olivier Dacourt, Nodjialem Myaro, Camille Pin, Frédéric Weiss, Matthias Dandois et Arnaud Tournant, entre autres. De nouveaux noms seront annoncés dans les prochains jours.

Un label national

« Nous sommes fiers d’avoir reçu le label de Grande Cause Nationale », se réjouit le président du festival. Un label décerné par le ministère des Sports, qui reconnaît « la qualité du projet, de la pertinence et de sa conformité aux critères énoncés dans la charte de la CGN 2024 ». Pour Roland Giscard d’Estaing, ce titre reflète la vision du festival qu’il souhaite promouvoir. « Nous avons cette ambition de montrer un autre regard sur le sport. On veut laisser une trace ».

Pour le grand public, les billets d’entrée sont toujours en vente sur le site internet. Un tarif unique, fixé à 5 € par jour. « On a privilégié un tarif bas pour que tout le public ait la chance de découvrir des pépites, lance le président. On fait cet événement pour le public ».

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Laura Flessel, ancienne escrimeuse et ministre des Sports.
Laura Flessel, ancienne escrimeuse et ministre des Sports. ©Actu.fr

3 questions à Laura Flessel, marraine du festival

-Pourquoi avoir accepté ce rôle de marraine du festival ?
C’est toujours un plaisir et un honneur de pouvoir participer à des événements légitimes, dans le sens où il manquait un festival de ce type dans le paysage. C’est la première édition, à la veille des Jeux olympiques et paralympiques, on parle de citoyenneté, et on pense à moi donc je suis assez ravie ! Et connaissant Roland Giscard d’Estaing et sa vision du sport, ce sont des valeurs qui me plaisent et qui me ressemblent. Il n’y a pas eu à beaucoup tergiverser. 
-Quelles seront vos missions durant ces 3 jours ?
Mes missions seront de regarder, d’échanger avec le jury. Mais aussi de pouvoir analyser et découvrir. De gérer naturellement, dans le sens où j’ai été sportive de haut niveau, dans la gouvernance du sport au niveau du ministère. J’aurais donc un regard intéressé et critique. Nous sommes tous à challenger, pour que la seconde édition ne soit que plus belle.
-Un documentaire sportif vous a-t-il marqué ? Peut-être un sur vous ?
L’âme d’une guerrière, sur moi. C’était dans un contexte où j’étais en préparation et où on montrait aussi le fait qu’une sportive maman pouvait rester championne. C’était une volonté de faire bouger les paradigmes dans le sport et d’intégrer la grossesse dans le sport de haut niveau.

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